Puis arrive le moment de la préparation, que je vais appeler « la hantise de la valise ». Il s’agit là de faire un choix entre les affaires que l’on va emmener et celles qu’on ne juge pas nécessaire. Il faut tenir compte du peu d’espace que le coffre de la voiture propose. Le stress est de retour, les avis et les vêtements de chacun sont trop volumineux. La tension est palpable, le mécontentement et les reproches sont aux bords des lèvres. Il y a désaccord entre les divers protagonistes. Il y va du confort de tous dans l’habitacle restreint, chacun veut y faire sa place et préserver son espace vital sans souffrir d’une promiscuité imposée. C’est une petite bagarre familiale anodine et vite réglée mais qui tend à influencer l’humeur du début de ces vacances tant attendues
Tout s’arrange quand enfin il y a consensus et que le départ a lieu, mais le passage d’un trouble éphémère laisse des traces et d’une année à l’autre, en se répétant, fait craindre quelques petites altercations qui polluent légèrement le tout début d’une période de détente mais qui, bien heureusement est vite oublié et n’a aucun impact sur la suite
Bonnes Vacances !!
halalala...c'est tellement vrai..la "hantise de la valise"; si je déteste ce moment!c'est aussi l'effervescence et aussi l'angoisse du départ..et passé les premiers kms,tout ça s'envole!
RépondreSupprimer